Sunday, August 28, 2005
L'envie
Johnny Hallyday
Qu'on me donne l'obscurité puis la lumière
Qu'on me donne la faim la soif puis un festin
Qu'on m'enlève ce qui est vain et secondaire
Que Je retrouve le prix de la vie... enfin !
Qu'on me donne la peine pour que j'aime dormir
Qu'on me donne le froid pour que j'aime la flamme
Pour que j'aime ma terre qu'on me donne l'exil
Et qu'on m'enferme un an pour rêver à... des femmes !
On m'a trop donné bien avant l'envie
J'ai oublié les rêves et les mercis
Toutes ces choses qui avaient un prix
Qui font l'envie de vivre et le désir
Et le plaisir aussi..
Qu'on me donne l'envie
L'envie d'avoir envie...
Qu'on allume ma vie !
Qu'on me donne la haine pour que j'aime l'Amour
La solitude aussi pour que j'aime les gens
Pour que j'aime le silence qu'on me fasse des discours
Et toucher la misère pour respecter... l'argent !
Pour que j'aime être sain, vaincre la maladie
Qu'on me donne la nuit pour que j'aime le jour
Qu'on me donne le jour pour que j'aime la nuit
Pour que j'aime aujourd'hui oublier les... "Toujours" !
On m'a trop donné bien avant l'envie
J'ai oublié les rêves et les mercis
Toutes ces choses qui avaient un prix
Qui font l'envie de vivre et le désir
Et le plaisir aussi...
Qu'on me donne l'envie
L'envie d'avoir envie, qu'on... Rallume ma vie !
Saturday, August 27, 2005
La bicyclette
Yves Montand
Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Fernand y avait Firmin
Y avait Francis et Sébastien
Et puis Paulette
On était tous amoureux d'elle
On se sentait pousser des ailes
A bicyclette
Sur les petits chemins de terre
On a souvent vécu l'enfer
Pour ne pas mettre pied à terre
Devant Paulette
Faut dire qu'elle y mettait du cœur
C'était la fille du facteur
A bicyclette
Et depuis qu'elle avait huit ans
Elle avait fait en le suivant
Tous les chemins environnants
A bicyclette
Quand on approchait la rivière
On déposait dans les fougères
Nos bicyclettes
Puis on se roulait dans les champs
Faisant naître un bouquet changeant
De sauterelles, de papillons
Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant
Avec Paulette
Prendre furtivement sa main
Oublier un peu les copains
La bicyclette
On se disait c'est pour demain
J'oserai, j'oserai demain
Quand on ira sur les chemins
A bicyclette
Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Fernand y avait Firmin
Y avait Francis et Sébastien
Et puis Paulette
On était tous amoureux d'elle
On se sentait pousser des ailes
A bicyclette
Sur les petits chemins de terre
On a souvent vécu l'enfer
Pour ne pas mettre pied à terre
Devant Paulette
Faut dire qu'elle y mettait du cœur
C'était la fille du facteur
A bicyclette
Et depuis qu'elle avait huit ans
Elle avait fait en le suivant
Tous les chemins environnants
A bicyclette
Quand on approchait la rivière
On déposait dans les fougères
Nos bicyclettes
Puis on se roulait dans les champs
Faisant naître un bouquet changeant
De sauterelles, de papillons
Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant
Avec Paulette
Prendre furtivement sa main
Oublier un peu les copains
La bicyclette
On se disait c'est pour demain
J'oserai, j'oserai demain
Quand on ira sur les chemins
A bicyclette
Wednesday, August 24, 2005
For me, Formidable
Charles Aznavour 1964
You are the one for me, for me, for me, formidable
You are my love very, very, very, véritable
Et je voudrais pouvoir un jour enfin te le dire
Te l'écrire
Dans la langue de Shakespeare
My daisy, daisy, daisy, désirable
Je suis malheureux d'avoir si peu de mots
À t'offrir en cadeaux
Darling I love you; love you, darling I want you
Et puis c'est à peu près tout
You are the one for me, for me, for me, formidable
You are the one for me, for me, for me, formidable
But how can you
See me, see me, see me, si minable
Je ferais mieux d'aller choisir mon vocabulaire
Pour te plaire
Dans la langue de Molière
Toi, tes eyes, ton nose, tes lips adorables
Tu n'as pas compris tant pis
Ne t'en fais pas et viens-t-en dans mes bras
Darling I love you, love you,
Darling, I want you
Et puis le reste on s'en fout
You are the one for me, for me, for me, formidable
Je me demande même
Pourquoi je t'aime
Toi qui te moques de moi et de tout
Avec ton air canaille, canaille, canaille
How can I love you?
You are the one for me, for me, for me, formidable
You are my love very, very, very, véritable
Et je voudrais pouvoir un jour enfin te le dire
Te l'écrire
Dans la langue de Shakespeare
My daisy, daisy, daisy, désirable
Je suis malheureux d'avoir si peu de mots
À t'offrir en cadeaux
Darling I love you; love you, darling I want you
Et puis c'est à peu près tout
You are the one for me, for me, for me, formidable
You are the one for me, for me, for me, formidable
But how can you
See me, see me, see me, si minable
Je ferais mieux d'aller choisir mon vocabulaire
Pour te plaire
Dans la langue de Molière
Toi, tes eyes, ton nose, tes lips adorables
Tu n'as pas compris tant pis
Ne t'en fais pas et viens-t-en dans mes bras
Darling I love you, love you,
Darling, I want you
Et puis le reste on s'en fout
You are the one for me, for me, for me, formidable
Je me demande même
Pourquoi je t'aime
Toi qui te moques de moi et de tout
Avec ton air canaille, canaille, canaille
How can I love you?
Tuesday, August 23, 2005
Amsterdam
Jacques Brel 1964
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.
Monday, August 22, 2005
L'été indien
Joe Dassin
Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique
Là-bas on l'appelle l'été indien
Mais c'était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue tu ressemblais
A une aquarelle de Marie Laurencin
Et je me souviens, je me souviens très bien
De ce que je t'ai dit ce matin-là
Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Aujourd'hui je suis très loin de ce matin d'automne
Mais c'est comme si j'y étais. Je pense à toi.
Où es-tu? Que fais-tu? Est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable
Et je me souviens, je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique
Là-bas on l'appelle l'été indien
Mais c'était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue tu ressemblais
A une aquarelle de Marie Laurencin
Et je me souviens, je me souviens très bien
De ce que je t'ai dit ce matin-là
Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Aujourd'hui je suis très loin de ce matin d'automne
Mais c'est comme si j'y étais. Je pense à toi.
Où es-tu? Que fais-tu? Est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable
Et je me souviens, je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Sunday, August 21, 2005
Jusqu'à la tombée du jour
Véronique Sanson
Quand, au fond de la mer, il y a des perles fines,
Quand tu t'endors au bord de la piscine,
Quand je pense aux nuages pleins de pluie qui voyagent
Tout au bout de la terre,
Si je pense à tout ça -
Je voudrais me trouver là-bas.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Une fille qui s'envole est toujours pleine de musique.
Je ne sais pas si mon cœur est granit
Ou tendre comme l'eau qui arrive comme toi,
Quand tu viens près de moi.
Si je t'imagine
Plein de soleil, de sable roux,
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour
Mais je suis là et le temps est gris,
Mais je suis là et je m'ennuie.
Il me faudra juste un peu d'amour
Pour quand tombera le jour.
Même si je pars le matin pour une éternité,
Pour voir, de loin, le grand soleil se lever,
Les fleurs se balancent.
On voit par transparence les rochers qui ressemblent
A de l'art Maya.
Oh que j'aime l'Avé Maria.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Oh quand je reviens, le soir, un peu de sable mouillé
Se colle à moi et ne veut plus me quitter.
Les fleurs se balancent.
On voit par transparence les volets se fermer.
Si je pense à tout ça,
Je voudrais me trouver là-bas.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Quand, au fond de la mer, il y a des perles fines,
Quand tu t'endors au bord de la piscine,
Quand je pense aux nuages pleins de pluie qui voyagent
Tout au bout de la terre,
Si je pense à tout ça -
Je voudrais me trouver là-bas.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Une fille qui s'envole est toujours pleine de musique.
Je ne sais pas si mon cœur est granit
Ou tendre comme l'eau qui arrive comme toi,
Quand tu viens près de moi.
Si je t'imagine
Plein de soleil, de sable roux,
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour
Mais je suis là et le temps est gris,
Mais je suis là et je m'ennuie.
Il me faudra juste un peu d'amour
Pour quand tombera le jour.
Même si je pars le matin pour une éternité,
Pour voir, de loin, le grand soleil se lever,
Les fleurs se balancent.
On voit par transparence les rochers qui ressemblent
A de l'art Maya.
Oh que j'aime l'Avé Maria.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Oh quand je reviens, le soir, un peu de sable mouillé
Se colle à moi et ne veut plus me quitter.
Les fleurs se balancent.
On voit par transparence les volets se fermer.
Si je pense à tout ça,
Je voudrais me trouver là-bas.
J'ai envie de vivre mon amour
Jusqu'à la tombée du jour,
Jusqu'à la tombée du jour.
Saturday, August 20, 2005
L'amour existe encore
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore ....
On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou d'avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Au quatre coins du monde
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore
L'amour existe encore ...
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore ....
On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou d'avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Au quatre coins du monde
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore
L'amour existe encore ...
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Friday, August 19, 2005
Chanson d'amour pas finie
Avec le coeur à marée basse
Avec un talon qui se casse
Avec des gestes maladroits
Et des sentiments bien à moi
Avec des plages en promenade
Et des nuages de limonade
Sous les tilleuls comme il disait
Arthur Rimbaud, poète français.
Avec la passion sur la bouche
Avec nos sexes qui se touchent
Avec des frissons de mystère
Des retrouvailles à la frontière
Avec des wagons d'inquiétude
Au fond d'une gare de solitude
J'te demande pardon d'avoir écrit
Une chanson d'amour pas finie…Pas finie.
Avec un talon qui se casse
Avec des gestes maladroits
Et des sentiments bien à moi
Avec des plages en promenade
Et des nuages de limonade
Sous les tilleuls comme il disait
Arthur Rimbaud, poète français.
Avec la passion sur la bouche
Avec nos sexes qui se touchent
Avec des frissons de mystère
Des retrouvailles à la frontière
Avec des wagons d'inquiétude
Au fond d'une gare de solitude
J'te demande pardon d'avoir écrit
Une chanson d'amour pas finie…Pas finie.
Thursday, August 11, 2005
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